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Afin d’optimiser la lutte contre la fraude, des mécanismes de sécurité ont été élaborés pour les méthodes de paiement lors des transactions en ligne. C’est le cas de la directive DSP2 encore connu sous le vocable de dispositif d’authentification forte. Si cette solution garantit une totale sécurité pour les consommateurs, elle n’est pas très avantageuse pour les e-commerçants. Cette directive sécuritaire pour les transactions en ligne contraint en effet ces vendeurs à relever de nombreux défis.

Réduire l’abandon de panier

Un défi majeur que les e-commerçants ont à relever avec toutes ces solutions de sécurité des moyens de paiement est de réduire l’abandon du panier. Avec l’avènement du récent système de sécurité des paiements, l’acheteur n’avait qu’à entrer un code secret suite à la réception d’une notification.

Désormais, ce procédé est renforcé et le consommateur devra franchir une autre étape avant de conclure son achat. C’est celle de la reconnaissance biométrique. L’acheteur aura en réalité à effectuer une reconnaissance faciale et à fournir son empreinte. Un tel processus est vraiment long et complexe.

Ce qui peut rebuter de nombreux acheteurs. Un grand nombre d’entre eux abandonnera alors le parcours d’achat. C’est le taux des ventes qui est alors menacé de baisser. Les détenteurs de marketplaces devront alors trouver des solutions comme Lemonway pour simplifier les transactions. Ainsi, il y aura moins de risques que les clients abandonnent le panier de validation.

Respecter davantage la réglementation RGPD

Un autre enjeu des paiements sécurisés sur les transactions en ligne est l’obligation de respecter les dispositions de la réglementation RGPD. En effet, avec la récente solution de sécurité des méthodes de paiement en ligne, les e-commerçants ont désormais accès des données plus précises sur leurs clients. C’est le cas :

  • de l’empreinte digitale  ;
  • du timbre de la voix  ;
  • des caractéristiques faciales.

Ces diverses informations permettent d’identifier facilement le client. Elles peuvent donc être employées à de mauvaises fins si elles tombent entre les mains de fraudeurs. De ce fait, les e-commerçants doivent faire le nécessaire pour garantir la totale sécurité de ces données.

Malgré toutes les contraintes que peut posséder la directive DPS2, il est vrai qu’elle allège à certains niveaux. Ses dispositions ne s’appliquent en effet pas à certaines transactions. C’est l’exemple des opérations récurrentes et celles en dessous de 30 euros. De plus, cette directive permet d’attirer plus de clients, car ceux-ci sont rassurés de la sécurité des transactions en ligne.

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