Onboarding

Intégrer une nouvelle entreprise n’est pas toujours simple. À l’heure où les recrutements sont de plus en plus poussés, l’intégration d’un nouvel arrivant n’est pas toujours une priorité. Il s’agit pourtant d’une étape essentielle dans le processus de recrutement et voici quelques bonnes pratiques à mettre en place au sein de votre entreprise.

Anticipez l’intégration dès le recrutement

L’onboarding regroupe les pratiques et les actions mises en place pour l’accueil et l’intégration d’un nouveau salarié. La période d’intégration d’un nouveau collaborateur ne doit pas être considérée comme une perte de temps, mais comme un investissement, au même titre que l’apprentissage. Afin qu’une personne se sente bien dans l’entreprise dès son arrivée, il est important pour les dirigeants de démarrer le processus d’onboarding en amont du recrutement. La journée d’intégration au sein de l’équipe ou encore la transmission d’un organigramme rassureront votre futur collègue. Veillez, dans votre choix, de choisir un diagramme simple, différents formats d’organigrammes d’entreprise existant. Pensez également que plus la préparation de cette nouvelle arrivée sera anticipée et bien préparée, plus l’adaptation du nouveau salarié à la société sera simplifiée.

L’onboarding ou la nécessité de maintenir la communication entre un recrutement et une arrivée

Si le candidat est au centre de l’attention durant le processus de recrutement, il est important de veiller à maintenir le lien et l’intérêt pour celui-ci dans la période entre le recrutement et son arrivée dans l’entreprise. En effet, si le contrat a bien été signé, un candidat peut très bien continuer à être courtisé entre la fin de son contrat et sa venue dans votre société. Il serait bête qu’il se laisse tenter par une autre offre entre temps parce qu’il n’a pas eu de nouvelles de votre part.

Comment préparer l’arrivée d’un nouveau collaborateur dans l’entreprise ?

L’arrivée d’un nouveau collaborateur passe aussi par une préparation en interne. Commencez par prévenir vos équipes et envoyez un petit mail informatif le jour J ou via tout autre moyen de communication interne, cela évitera les impairs, notamment s’il s’agit d’un remplacement de poste. Prenez également le temps de :

  • présenter la société ;
  • les locaux ;
  • le refaire ;

si vous aviez déjà donné un aperçu au candidat lors de son entretien. Appuyez-vous pour cela sur son manager, qui en profitera pour revoir avec lui les missions et attentes associées.

Un livret d’accueil pour faciliter l’intégration

Préparez en amont un livret d’accueil qui recensera les données à la fois pratiques et administratives, pour que votre nouveau collaborateur ait un document de référence. Vous pourrez y inclure, par exemple, le règlement intérieur, mais aussi un organigramme et une documentation centrée sur le Comité Social Économique. Joignez-y des éléments de communication comme le catalogue des produits phares, afin que le nouveau salarié puisse s’imprégner le l’image de l’entreprise.

Préparez son poste de travail et mettez en place un système de mentorat

Chaque poste ayant ses propres spécificités, veillez à anticiper les besoins de votre nouveau collaborateur. Cela lui évitera de perdre du temps à chercher et demander des fournitures ou autres outils et codes informatiques. Définissez également avec les personnes déjà en place dans l’entreprise un mentor, sur la base du volontariat. Il s’agira de la personne auprès de qui le nouvel employé pourra se référer s’il a des questions. Cela permettra à votre nouveau collaborateur de ne pas se sentir exclu et de favoriser son intégration.

Favorisez l’onboarding avec le maintien d’un suivi régulier.

Tout au long des premiers mois, il est important pour un salarié de se sentir accompagné. Assurez-vous de rester disponible pour lui et de réaliser des rendez-vous de suivi réguliers. Vous pourrez ainsi veiller à sa bonne intégration en recueillant son ressenti sur la vie dans l’entreprise. Un feedback qui sera également l’occasion de faire un point sur ses missions.

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