growth hacking

Le growth hacking est sans doute un mot qui n’est pas passé inaperçu ces dernières années. De nombreuses start-ups sont devenues des marques de prestige grâce à lui. Essayons de voir ensemble ce que vraiment le growth hacking et en quoi consiste-t-il.

Qu’est-ce que le growth hacking ?

Le growth hacking ou piratage de croissance est une activité qui consiste à élaborer et déployer des techniques dans le but de démultiplier la croissance d’une organisation ou d’une start-up. Cela peut se traduire par des techniques de marketing permettant d’accélérer rapidement et significativement la croissance du chiffre d’affaires. Cette croissance peut par exemple provenir d’une augmentation des adhérents ou d’abonnés et dans le premier temps, il s’agit de soutien puis suivit après des solutions pour la monétisation. Dans le marketing d’influence, avoir un maximum de followers est indispensable. De ce fait, certains utilisent le growth hacking pour gonfler la taille de leur communauté. Il est donc un axe privilégié dans le cadre de la croissance de la communication d’une startup.

Développer sa société avec le growth hacking

Le but dans le growth hacking, c’est d’assurer une croissance durable et pérenne pour son entreprise. Pour se faire, il faut donc optimiser le tunnel de vente ou Framework du Growth hacking ou tunnel AARRR. Vous aurez plus d’infos sur le growth marketing ici : https://www.growthyouneed.com/. Ce tunnel a comme objectif d’améliorer la conversion à toutes les étapes clés de la vente :

  • acquérir des trafics ;
  • activer le produit ou service ;
  • retenir les clients ;
  • inciter la recommandation des clients à leur contact ;
  • augmenter les revenus ;

Il est donc nécessaire d’étudier les utilisateurs et les cibles et segmenter finement pour s’adapter à chacun. La compréhension du public cible permet en effet de mettre en place un growth hacking performant qui répondra mieux aux utilisateurs de manière personnalisée.

Quelques exemples de growth hacking qui ont réussi : AirBnB (ils se sont servis sur la base de données de Craiglist pour récupérer les clients), Facebook (le fondateur avait hacké l’intranet de Harvard et utilisait les mails des universités pour développer la base utilisateur), Instagram, Netflix et  Hotmail.

Les types de growth hacker

Le growth hacker doit avoir un esprit analytique, il doit être créatif et ingénieux, mais aussi savoir coder ou utiliser des logiciels d’automatisation. Il y a trois types de growth hacker :

Le growth marketing hacking blanc

Techniques légales utilisés par les marketeurs. Par exemple, cibler les clients des concurrents sur Facebook Ads, faire des tests de conversion, voler le trafic des concurrents en identifiant les mots qui génèrent plus de trafic…

Le growth Haching gris

Techniques à la limite du légal, ils se résument parfois par la récupération des adresses emails et contacts pour automatiser l’ajout sur Twitter ou Linkedin. Utilisant des logiciels pour récupérer les emails des désabonnés et les recibler sur Adwords et Facebook Ads…

Le growth hacking noir

Comme son nom l’indique, ce sont des techniques illégales, mais utilisées dans une optique « pas vu, pas pris ». Par exemple, aspirer les adresses email des particuliers sur les forums et les annuaires ou voler le contenu des autres sites…

 

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