Devenir chauffeur VTC BVTC : quelles sont les vraies étapes à suivre ?

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Vous y avez peut-être déjà pensé. Ou alors on vous l’a soufflé à l’oreille entre deux cafés : “Et pourquoi tu ne deviendrais pas chauffeur VTC ?” Et là, forcément, on imagine tout de suite les avantages. La liberté des horaires, la voiture qui brille, le GPS qui trace les trajets, et l’appli qui tombe les courses. C’est tentant, non ? Mais comment on passe du fantasme à la réalité ? Spoiler : ce n’est pas si sorcier, surtout quand on se fait accompagner. Moi, je vous raconte ça comme je l’ai vécu — ou comme je l’aurais rêvé : avec BVTC à mes côtés, ça change tout.


Le métier de chauffeur VTC avec BVTC : bien plus qu’un simple job derrière un volant

On pourrait croire que devenir VTC, c’est juste conduire. Mais non. C’est représenter un service, c’est soigner l’accueil, c’est anticiper, écouter, rassurer. Le VTC, c’est l’élégance dans la mobilité.

Et BVTC dans tout ça ? C’est le co-pilote invisible qui vous aide à prendre la route dans les meilleures conditions. Une société qui ne vous laisse pas seul face aux papiers, à l’examen ou à la galère du véhicule aux normes. Leur promesse ? Vous donner les clés (littéralement) d’une activité qui tient debout, même sans être expert du transport ou de l’auto-entrepreneuriat.

Je ne vais pas vous mentir : ce n’est pas un métier qu’on improvise. Mais avec le bon accompagnement, on découvre que c’est bien plus accessible qu’on ne le croit.


Les conditions de départ : pas besoin d’un CV long comme le bras

Premier soulagement : pas besoin d’avoir fait une école de commerce ou d’avoir dix ans d’expérience pour se lancer. En fait, les prérequis sont assez simples, et tout à fait atteignables :

ConditionDétail
Âge minimum21 ans
Permis BDepuis plus de 3 ans
SantéVisite médicale chez un médecin agréé
Casier judiciaireVierge (bulletin n°2)
LangueParler français, un peu d’anglais, c’est un plus

Honnêtement, ce n’est pas le mur administratif qu’on imagine parfois. Et puis, encore une fois, BVTC est là pour démystifier chaque étape.


La formation VTC : ce n’est pas Poudlard, mais presque

On l’avoue : l’idée de retourner sur les bancs (même virtuels) peut refroidir. Pourtant, cette formation VTC est votre meilleur atout pour entrer dans le métier en confiance. 70 heures, réparties sur quelques jours ou semaines, selon votre emploi du temps. En ligne ou en présentiel. Et croyez-moi, on y apprend des choses utiles : réglementation, gestion, sécurité, service client… C’est du concret.

À la fin, place à l’examen. Sept épreuves, de la conduite à l’anglais basique. Objectif : avoir au moins 10/20. Rien d’insurmontable, surtout si vous êtes sérieux. Avec BVTC, certains candidats peuvent bénéficier de formations financées. Donc oui, ça peut coûter autour de 1 500 € – mais vous n’êtes pas obligé de les sortir seul.


La carte professionnelle : votre ticket pour prendre la route légalement

Une fois l’examen en poche, direction la préfecture pour demander votre carte VTC. Sans elle, pas de courses, pas de client, pas de revenu. Elle est valable 5 ans, et comme tout permis spécial, elle peut être retirée si vous ne jouez pas le jeu.

C’est à ce moment-là qu’on réalise : “Ok, je deviens pro”. Ce bout de plastique, c’est bien plus qu’une formalité. C’est le début officiel d’une nouvelle aventure. Et là encore, BVTC vous guide, vous explique, vous aide à remplir les papiers. Pas de prise de tête inutile.


Choisir son statut et lancer son activité : la vraie bascule

Auto-entrepreneur ou société ? Le choix dépend de vous, de vos ambitions, de votre vision. Si vous voulez tester tranquillement, l’auto-entreprise reste le point d’entrée idéal : démarches simplifiées, comptabilité légère. Mais il y a des plafonds à ne pas dépasser.

Vous pensez plus grand ? SASU ou EURL permettent d’aller plus loin : déduction de charges, séparation pro/perso, gestion fiscale plus fine. Un peu plus de paperasse, certes, mais une structure solide pour durer.

Ce qu’il faut, c’est surtout s’enregistrer au registre VTC, ouvrir un compte bancaire pro, prendre une assurance RC Pro Transport. Pas hyper fun ? Non. Mais BVTC s’en charge avec vous. Et là, c’est tout de suite moins stressant.


Le véhicule : pas besoin de rouler en berline de luxe pour démarrer

C’est souvent le plus gros frein : “Je n’ai pas de voiture adaptée.” Bonne nouvelle : vous n’avez pas besoin d’acheter un véhicule à 40 000 € pour vous lancer. Il y a des alternatives malines : la LLD, la LOA… ou carrément la location via BVTC.

Ils proposent des voitures déjà équipées, assurées, conformes VTC. On signe, on roule. Le véhicule doit répondre à certains critères (moins de 6 ans, 4 portes minimum, parfait état), mais tout est prévu pour vous éviter les mauvaises surprises.

Et en cas de pépin ? Panne, accident, entretien ? BVTC assure le SAV. Remplacement rapide, assistance, entretien inclus. Vous roulez, ils gèrent.


Ce que vous apporte BVTC au quotidien : bien plus qu’un loueur de voitures

Passer par BVTC, c’est plus qu’un service : c’est un vrai filet de sécurité pour lancer son activité avec un minimum de risque. Voici ce que j’ai retenu comme avantages :

Service proposéCe que ça change
Véhicule VTC prêt à l’emploiGain de temps et de stress
Aide administrativeDémarches facilitées
Formation & examenEncadrement complet
Accès aux plateformesUber, Bolt, Heetch, etc.
Maintenance & remplacementTranquillité d’esprit totale

On se sent accompagné, soutenu, épaulé. Et quand on débute dans une activité comme celle-ci, ça fait une vraie différence.


Et côté revenus, ça donne quoi ?

C’est LA question que tout le monde se pose. Soyons francs : il y a de tout. Mais si vous êtes régulier, organisé, et que vous visez les bons créneaux (soirées, week-ends, aéroports), vous pouvez viser entre 2 000 € et 3 000 € net par mois. Certains font plus, d’autres moins, mais c’est une moyenne réaliste.

Il faut bien sûr tenir compte des charges : carburant, location, entretien, frais de plateforme… Et adapter son rythme à ses objectifs. Mais avec un bon planning, une gestion carrée et un bon accompagnement, le métier reste rentable et souple.


Le dernier mot avant de prendre le volant

Ce n’est pas juste un job qu’on prend à la légère. C’est une petite entreprise à piloter soi-même. Vous gérez votre image, votre clientèle, votre temps. Mais avec BVTC dans le rétro, vous évitez bien des embûches.

Si vous hésitez encore, je vous dirais juste une chose : testez. Appelez-les, posez vos questions, voyez si ça vous correspond. Peut-être que ce sera un tremplin. Peut-être même le début d’un nouveau chapitre pro.

Alors… prêt à prendre la route ?

Ce qu’il faut savoir sur le métier de chauffeur VTC

Quel VTC paye le mieux ?

Si je devais répondre sans détour : Uber reste le leader en termes de volume de courses et donc de potentiel de revenus. Mais ce n’est pas aussi simple que ça. Tout dépend de la ville, des horaires, et surtout de votre stratégie. J’ai croisé des chauffeurs qui faisaient plus avec Bolt, d’autres qui juraient par Heetch. Pourquoi ? Parce qu’ils connaissaient leurs créneaux, leurs zones, et les primes spécifiques aux applis. Uber a l’avantage d’avoir le plus gros flux, donc plus de courses potentielles, surtout en heure de pointe. Mais les commissions sont plus élevées aussi. Bolt et Heetch prennent moins, donc en théorie, plus d’argent reste dans votre poche. Le top ? Ne pas se marier avec une seule appli. Multipliez les plateformes, testez, comparez. Au final, c’est celui qui gère le mieux son planning qui gagne le plus, pas celui qui clique le plus vite.

Est-ce rentable de faire chauffeur VTC ?

Rentable ? Oui, mais pas à l’aveugle. Ce métier, c’est un peu comme un business personnel : plus vous êtes malin, plus vous optimisez… plus vous encaissez. En bossant à plein temps, sur les bons créneaux (soirées, week-ends, événements), vous pouvez sortir entre 2 000 € et 3 000 € net, parfois plus. Mais on ne va pas se mentir : il faut en vouloir. Entre les frais de voiture, le carburant, les plateformes qui prennent leur part, c’est vite le piège si vous ne suivez pas vos dépenses. Par contre, une fois bien organisé, c’est la liberté. Votre planning, vos décisions. Perso, je trouve que c’est rentable quand on aime bouger, rencontrer du monde, et qu’on sait s’auto-discipliner. Vous roulez pour vous, pas pour un patron. Et ça, franchement, ça n’a pas de prix.

Quel budget pour devenir chauffeur VTC ?

Alors là, parlons concret. Pour vous lancer, prévoyez environ 2 000 à 3 500 € de budget initial. Ça couvre quoi ? La formation VTC (entre 1 500 et 2 000 €), l’examen, la demande de carte pro, l’assurance, quelques démarches administratives… et bien sûr, le véhicule si vous n’en avez pas déjà un aux normes. Mais — et c’est important — vous n’avez pas besoin de tout payer d’un coup. Certaines boîtes comme BVTC vous proposent des packs avec formation, véhicule, accompagnement, et parfois même des facilités de paiement ou du financement. Et puis il y a la location avec option d’achat, qui vous évite de claquer une grosse somme au départ. En gros, c’est comme une franchise mobile : vous investissez sur vous-même, mais avec un filet de sécurité. Si vous êtes motivé, le budget se rentabilise vite. Et ça, je l’ai vu de mes propres yeux.

Quel est le salaire moyen d’un VTC ?

Alors attention, ici pas de salaire fixe comme dans un CDI classique. Tout dépend de votre temps de travail, votre ville, vos horaires, et surtout… de votre organisation. Mais pour vous donner une idée, un VTC qui bosse sérieusement peut viser entre 2 000 € et 3 000 € net par mois, voire plus s’il fait des longues distances ou bosse la nuit. Perso, j’ai croisé des chauffeurs à Paris qui dépassaient les 4 000 € nets — mais ils y passaient leurs soirées, leurs week-ends, et parfois 10h par jour. En revanche, si vous ne bossez que 15h/semaine, faut pas espérer faire sauter la banque. Le vrai secret ? Savoir quand rouler. Aéroports, gares, événements, soirées… c’est là que les bonnes courses tombent. Et avec les primes plateformes, ça peut faire grimper l’enveloppe. Bref : c’est variable, mais c’est vous qui fixez les règles.

Est-ce que Bolt est rentable ?

Franchement ? Oui, Bolt peut être rentable, surtout si vous débutez ou que vous cherchez une alternative à Uber. Les commissions sont un peu plus légères (autour de 15 %), donc plus de revenu brut vous revient. Et en période de promo, Bolt balance souvent des bonus intéressants pour attirer les chauffeurs… et les garder. Mais voilà, tout dépend de l’endroit où vous roulez. À Paris ou Lyon, Bolt tourne bien. En province, ça peut être plus aléatoire. Faut tester. Ce que j’ai appris, c’est que multiplier les applis, c’est la vraie bonne stratégie. Bolt, Uber, Heetch… vous activez la plus rentable à l’instant T. Et en plus, les clients Bolt sont souvent plus cools (moins de stress côté notation, allez savoir pourquoi). Alors rentable ? Oui. Mais pas en mode automatique : en mode malin, stratégique, et réactif. Comme toujours.

Quelle est la meilleure voiture pour être chauffeur VTC ?

Ah, le dilemme de tous les débuts ! La meilleure voiture VTC ? Celle qui combine confort, fiabilité, faible conso… et qui fait bonne impression. Mon coup de cœur perso : la Toyota Corolla Hybride. Silencieuse, économique, assez spacieuse pour les clients et classe sans en faire trop. Et en plus, elle est éligible aux plateformes. Mais j’ai aussi vu pas mal de collègues heureux en Peugeot 508, Skoda Superb ou même en Tesla Model 3 pour ceux qui misent sur le haut de gamme. Ce qui compte ? Un véhicule moins de 6 ans, propre, 4 portes minimum, clim, espace bagages correct, et si possible boîte auto pour la ville. Et surtout, évitez les voitures trop voyantes ou trop sportives. Ça fait plus peur qu’envie. Astuce : pensez à la LLD ou à la LOA avec un partenaire comme BVTC. Vous roulez dans un bon véhicule, sans vous ruiner dès le départ.

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