Coaching dirigeant : Comment développer ses compétences de dirigeant d’entreprise ?

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Toute personne qui aspire à devenir chef d’entreprise doit posséder certains attributs clés qui la distinguent des autres employés. Certains peuvent avoir un sens inné du leadership, tandis que d’autres doivent développer ces compétences grâce à un coaching. Les compétences suivantes sont nécessaires et doivent être acquises pour devenir un bon dirigeant.

La capacité à innover

La mondialisation, un environnement commercial compétitif, une inflation croissante et des progrès technologiques rapides mettent les entreprises dans un environnement commercial en rapide mutation. La clé du succès de toute organisation est de pouvoir innover en permanence et de proposer une gamme de fonctionnalités dans ses produits et services qui ne sont pas encore commercialisées par ses concurrents. Un dirigeant doit idéalement être capable d’anticiper l’avenir et de concevoir un ensemble de stratégies permettant de lutter efficacement contre le changement et de générer une rentabilité à long terme.

Un preneur de risque

Un dirigeant doit idéalement être en mesure de prendre des risques calculés après une évaluation approfondie des probabilités associées aux résultats de la décision en termes de profits et de pertes. Cela est nécessaire pour avoir une longueur d’avance sur les concurrents (tout savoir sur le mapping concurrentiel par ici). Un PDG devrait pouvoir prendre des risques, sans pour autant compromettre la survie ou la rentabilité de la société.

Optimiste

Un bon dirigeant d’entreprise doit être de nature optimiste et doit également pouvoir identifier les opportunités même dans des situations difficiles. Il doit être capable de sortir des sentiers battus et de concevoir des stratégies qui permettent de lutter efficacement contre les menaces auxquelles l’organisation est confrontée, tout en motivant ses collaborateurs (et éviter ainsi un turnover trop fréquent).

La capacité d’agir

En outre, un leader doit être en mesure de prendre des mesures opportunes en fonction des facteurs environnementaux en jeu. Cependant, un PDG ne doit pas être impulsif et toute ligne de conduite doit être adoptée après une réflexion et une analyse minutieuse. Il doit non seulement être capable de concevoir des stratégies qui puisse faire face au changement, mais également pour les exécuter de manière à améliorer la rentabilité de l’organisation.

Coordination et communication avec les membres de l’équipe

Un excellent sens de la communication est indispensable pour bien diriger une équipe. Un dirigeant doit de ce fait être capable de communiquer efficacement avec les autres membres de l’équipe et d’explorer les idées et les suggestions avancées par les personnels. Il doit aussi être ouvert aux idées ou aux stratégies avancées par les membres du personnel plutôt que de se concentrer sur ses propres stratégies.

Les compétences en communication d’un chef d’entreprise reposent en grande partie sur les termes qu’ils utilisent ainsi que sa manière de communiquer avec l’équipe.  Il doit par ailleurs être apte à garder le contrôle de ses émotions.

Toutefois, cela ne veut pas dire qu’un chef de la direction doit adopter un comportement strict. L’intensité de l’émotion doit plutôt être maintenue de manière à ce que les collègues et les subordonnés comprennent ses significations sous-jacentes. Dans l’idéal, le PDG ne doit pas afficher une colère excessive face à de petites erreurs ni acclamer les petites victoires. Au contraire, il doit savoir apprécier les employés et les pousser dans la bonne direction, ce qui permettra à l’équipe d’atteindre les objectifs de l’entreprise.

Inclusion dans la prise de décision

Un PDG doit pouvoir impliquer les autres dans le processus de décision et promouvoir une culture dans laquelle tous les employés travaillent en équipe afin d’atteindre un but ou un objectif commun. Pour ce faire, il doit informer ses collègues et ses subordonnés que leur participation au processus de prise de décision est considérée comme extrêmement utile. La décision finale ne doit être prise qu’après avoir effectué une analyse financière et non financière complète de la décision et avoir examiné en quoi cette décision peut permettre à l’équipe d’atteindre l’objectif général de l’organisation.

Cependant, le dirigeant doit également être un décideur indépendant et devrait pouvoir prendre de telles décisions pendant les périodes de tension lorsque les contraintes de temps empêchent la participation d’autres personnes au processus de décision.

La capacité à faire confiance aux autres

Un chef d’entreprise doit développer une culture de confiance mutuelle qui lui permettra de faire confiance à ses collègues et à ses subordonnés. Pa ailleurs, il doit être disposé à déléguer des pouvoirs tout en supervisant diverses fonctions au sein de l’organisation. Toutefois, le PDG doit pouvoir partager l’autorité avec un large éventail de personnes, mais ne doit pas fermer les yeux sur eux. En d’autres termes, même s’il doit déléguer son autorité pour effectuer des tâches, le pouvoir ultime est dévolu à son chef. Il doit donc superviser et assumer la responsabilité de toutes les décisions de l’entreprise prises par le personnel.

Cohérence

Un bon PDG sait que les meilleures décisions sont prises lorsqu’on prend le temps de rassembler de multiples entrées, de synthétiser, de réfléchir et de bien traiter chaque donnée. Et, une fois qu’une direction est établie, ces décisions ne peuvent pas être soumises à des changements rapides. Évidemment, cela ne signifie pas qu’un dirigeant ne doit pas s’adapter à de nouvelles informations, mais la capacité de maintenir le cap dans une situation difficile est une capacité importante de chef de la direction.

Persévérance

Tandis que la cohérence permet à une organisation de comprendre quoi faire et comment le faire, la persévérance aide à maintenir le cap dans les moments difficiles.

La communication

La capacité de communiquer clairement, directement et de manière rapide avec tout le monde est un trait essentiel du chef d’entreprise. Cela concerne la capacité de veiller à ce que tous les employés comprennent la mission et la direction de l’organisation, leur rôle et la situation de l’entreprise.

Conscience de soi

Nous avons tous des forces et des faiblesses. Et les psychologues rapportent qu’il est naturel de recruter des personnes qui nous ressemble. Or, cela donnera des équipes très fortes dans certains domaines et faibles dans d’autres. Pour éviter cela, un bon dirigeant doit être conscient de lui-même et capable de comprendre objectivement où il a besoin d’aide. Il doit ensuite concevoir une structure organisationnelle efficace avec les bonnes personnes de manière à ce que l’équipe composite couvre toutes les compétences et capacités requises.

Les compétences nécessaires pour les RH

Si cette profession peut vous attirer, vous devez impérativement vous renseigner notamment pour savoir si cet emploi est fait pour vous. Parfois, les envies et les possibilités ne sont pas les mêmes, d’où l’intérêt de se focaliser sur les connaissances à avoir pour être certain que vous avez pu sélectionner la bonne voie. Grâce à guide, il est tout à fait possible de développer ses compétences RH continuellement.

  • Dans les ressources humaines, vous devez collaborer avec de nombreux collègues, il faut alors s’adapter plus facilement à leur personnalité.
  • Le bagage juridique est forcément le bienvenu notamment pour se confronter à toutes les situations.
  • Vous devez ainsi connaître toutes les réformes mises en place par le gouvernement afin de renseigner les salariés de la société, voire les dirigeants.
  • La gestion des données est très importante, il faut être data friendly puisque vous serez invité à jongler avec plusieurs sources.

De ce fait, le métier dédié aux ressources humaines est assez polyvalent et il nécessite des connaissances universelles. Vous devrez aussi développer un certain sens de l’innovation et de la communication. N’hésitez pas à vous former régulièrement pour être en adéquation avec les volontés de chacun.